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christopher gérard

  • La source pérenne...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de rééditer le livre de Christopher Gérard intitulé La source pérenne - Un parcours païen.

    Animateur, entre 1993 et 2000, de la défunte revue d'études polythéiste AnTaios, Christopher Gérard a notamment publié aux éditions L'Age d'Homme plusieurs romans, dont Le songe d'Empédocle (2003), Maugis (2005) Porte Louise (2010) et Vogelsang (2012). Les éditions Pierre-Guillaume de Roux ont publié son récit de flâneries urbaines, Aux armes de Bruxelles (2017) et son roman Le prince d'Aquitaine (2018). Quant aux éditions de La Nouvelle Librairie, elles ont déjà publié son journal de lecture Les Nobles Voyageurs (2023).

     

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    " La Source pérenne atteste du réveil des Dieux dans la conscience d’un Européen d’aujourd’hui et retrace le paysage mental d’un païen contemporain. Son ambition ? Revivifier la première fonction, spirituelle ; ranimer des valeurs aristocratiques. Rendre la parole à des auteurs oubliés ou niés, redécouvrir des sources qui, depuis les origines, nourrissent l’esprit européen. Irriguer des esprits stérilisés par les dogmes. Se libérer du carcan de la pensée linéaire et dualiste, ennemie des libertés concrètes. Repenser les archétypes fondateurs de notre civilisation ; réenchanter notre monde défiguré par les titans du système techno-marchand. Redonner une dimension symbolique à notre vie quotidienne en l’ancrant dans les rythmes cosmiques. Le fil conducteur ? Un parcours païen poursuivi depuis quarante ans, ou comment « suivre la divinité », cette formule qui résume le paganisme en tant que philosophie – un amour de la sagesse, alliant contemplation et action. "

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  • Les Nobles Voyageurs...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier Les Nobles Voyageurs, une réédition du journal de lecture de Christopher Gérard.

    Animateur, entre 1993 et 2000, de la défunte revue d'études polythéiste AnTaios, Christopher Gérard a notamment publié aux éditions L'Age d'Homme un journal spirituel, La source pérenne (2007), plusieurs romans dont Le songe d'Empédocle (2003), Maugis (2005) Porte Louise (2010) et Vogelsang (2012). Les éditions Pierre-Guillaume de Roux ont publié son récit de flâneries urbaines, Aux armes de Bruxelles (2017) et son roman Le prince d'Aquitaine (2018).

     

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    " « Votre livre est une somme. Ce que l’université et la politique ont voulu effacer avec une hargne incompréhensible reprend sa place dans votre brillant essai où j’ai pris un rare plaisir à retrouver nos amis dans leur pureté et leur courage. » Michel Déon

    « Ce que je voulais vous dire, c’est ma surprise et mon admiration totales devant tous ces textes magnifiquement vrais, écrits avec une grande générosité, une immense culture littéraire et une fraternité de haut vol. C’est un livre fondamental. » Jean Raspail

    Les Nobles Voyageurs n’a rien du traité ni du pamphlet. Un panthéon d’irréguliers, un journal de lectures avec ses inévitables redites, une conversation au coin du feu avec ses silences, au cours de laquelle s’exprime, par touches et fragments, le refus de la décadence, la sereine incroyance face aux dogmes de toujours, la passion de la liberté et le culte de la langue française, la langue des Dieux depuis l’oubli du grec. "

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  • Face à la crise des valeurs, la renaissance des dieux...

    La revue Éléments publie cette semaine son premier numéro hors-série consacré aux sagesses païennes qui propose une anthologie des textes les plus marquants sur le paganisme parus dans le magazine depuis 50 ans.

    Au fil de ces 132 pages, le lecteur découvrira, loin des anathèmes et des procès en sorcellerie, l’extraordinaire pluralité des sensibilités qui bouillonne aujourd’hui encore au sein de la revue.

    Le soleil reviendra !

     

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    Sagesses païennes 
    La renaissance des dieux face à la crise des valeurs
    Hors-série n°1

    Au sommaire du numéro :

    Héritage

    Pour une renaissance des dieux : la libération de l’Europe
    Par Alain de Benoist
    Éléments n° 36, septembre 1980

    Comment peut-on être païen ? Réflexions critiques sur le néopaganisme
    Par Alain de Benoist
    Éléments n° 89, juillet 1997

    L’éclipse du sacré : les dieux à venir ne sont pas encore nés
    Par Guillaume Faye
    Éléments n° 57-58, mars 1986

    Débat

    Michel Onfray et Alain de Benoist : « Un jour, il y aura des dieux »
    Éléments n° 167, août 2017

    Falk van Gaver et Rémi Soulié ou la tentation païenne : ces écrivains catholiques que le polythéisme attire
    Éléments n° 167, août-septembre 2017

    Ce Dieu qui n’existe pas
    Par Jean-François Gautier
    Éléments n° 95, juin 1999

    Figures

    Louis XIV en Apollon
    Par Michel Marmin
    Éléments n° 26, mars 1978

    Bibliothèque païenne

    Quand les écrivains français ressuscitaient les dieux : le grand livre de la nature
    Par Dominique Pradelle
    Éléments n° 36, septembre 1980

    Rencontre avec Henri Vincenot : le vieux Gaulois reste païen
    Par Pierre Vial
    Éléments n° 53, mars 1985

    Le comte Hermann von Keyserling : une expérience du divin
    Par Jean Varenne
    Éléments n° 36, septembre 1980

    Le grand soleil de Jean Cau
    Par Michel Marmin
    Éléments n° 39, Été 1981

    Christopher Gérard : « Païen, je l’ai toujours été »
    Éléments n°186, octobre 2020

    Les soleils invaincus de D. H. Lawrence : Jean de Patmos ou l’Apocalypse pour les nains
    Par François Bousquet
    Éléments n° 180, septembre 2019

    Christian Laborde sur le sentier de la guerre
    Par Pascal Eysseric
    Éléments n° 84, février 1996

    Traditions

    Païennes Pyrénées
    Par Pierre Vial
    Éléments n° 64, décembre 1988

    Une figure mythique : le dieu Cerf
    Par Pierre Vial
    Éléments n° 57-58, mars 1986

    Pour célébrer le solstice d’hiver
    Par Jean Mabire
    Éléments n° 19, décembre 1976

    À la rencontre des dieux maudits : le soleil retrouvé des Hyperboréens
    Par Jean Mabire
    Éléments n° 27, décembre 1978

    À la découverte des dieux du Grand Nord : la saga de l’Edda
    Par Jean Haudry
    Éléments n° 72, décembre 1991

    Découvertes

    Voyage au pays des Kalashs : ces vallées où meurent les dieux
    Par Éric Robert
    Éléments n° 89, juillet 1997

    Éphémérides païennes

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  • Ungern, le dieu de la guerre...

    Les éditions Lohengrin viennent de rééditer Ungern, le dieu de la guerre, le récit historique de Jean Mabire, avec une préface de Christopher Gérard et de magnifiques illustrations de Jacques Terpant. Décédé en 2006, Jean Mabire, qui était un des grands écrivains de l'aventure, qu'elle soit historique, mythologique ou politique, a aussi été un combattant pour la cause de l'identité des peuples européens.

    Le livre est disponible à la commande sur le site des éditions Lohengrin.

     

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    " L’incendie allumé en 1917 par le Bolchevisme emporte dans un tourbillon de feu et de sang le cœur même de l’Asie. Contre les hordes qui déferlent sur le pays ravagé, se dresse, solitaire, un simple chef d’escadron de cavalerie qui se proclame de lui-même général. Il se nomme Roman Feodorovitch von Ungern-Sternberg. D’origine balte, fruste, sauvage, impitoyable, il se veut loup parmi les loups de la steppe. Il va franchir en 1920 la frontière mongole, conquérir Ourga la capitale et tenter de réaliser le grand rêve de Gengis-Khan : la conquête de l’Asie puis de l’Europe. Dernier chef des armées blanches, il sera bien près de réaliser sa folle ambition. Trahi et capturé par les Rouges en 1921, après avoir été célébré par les Mongols comme leur dieu réincarné de la guerre. "

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  • Maugis...

    Les éditions Pierre-Guillaume de Roux viennent de rééditer dans une nouvelle version le roman de Christopher Gérard intitulé Maugis. Animateur de la défunte revue d'études polythéiste AnTaios, Christopher Gérard a notamment publié aux éditions L'Age d'Homme un journal spirituel, La source pérenne (2007), plusieurs romans dont Le songe d'Empédocle (2003), Porte Louise (2010) et Vogelsang (2012), et un journal de lecture, Quolibet (2013). Les éditions Pierre-Guillaume de Roux ont récemment publié son récit de flâneries urbaines, Aux armes de Bruxelles (2017) et son roman Le prince d'Aquitaine (2018).

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    « Maugis cheminait, le crâne rasé, le corps couvert de peaux de renard pour le protéger des atteintes du froid, de plus en plus vif au fur et à mesure de son ascension. (…) La neige fit son apparition, et avec elle, Maugis comprit qu'il approchait de son but. Cette neige de l'Himalaya, il la toucha, la piétina durant des semaines, ouate glacée qui purifia ses pensées de toute noirceur. Des réminiscences de bataille lui revinrent en mémoire : la poussière d'un terrible été et le sang de ses victimes sans nombre. Ce fut grâce à l'eau solidifiée des cimes sacrées que le jeune homme se lava enfin de tenaces souillures. »

    Qui est donc Maugis, ce jeune homme aux yeux émeraude ? Un poète ballotté par les tempêtes de l’histoire ? Un mage issu de la nuit des temps ? Trois figures féminines tissent son destin... Échappera-t-il au sortilège qui le menace ? Lèvera-t-il le voile qui recouvre les circonstances obscures de sa naissance ? Triomphera-t-il des passions qu’il déchaîne autour de lui ?
    Une quête envoûtante et une réhabilitation du merveilleux, servies par un style lumineux.

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  • La revue de presse d'un esprit libre... (48)

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    Le numéro 184 (juin-juillet) d’Éléments est en kiosque depuis un dizaine de jours. Ci-dessous sa couverture et son très riche sommaire :

     
    François Bousquet dans la peau de Virginie Despentes : « Je suis une bourgeoise blanche de gauche privilégiée ». L’auteur de Baise-moi s’était exprimée dans une lettre rendue publique sur les ondes de France Inter où elle disait son attachement à la lutte contre les discriminations et sa compassion pour ses victimes issues de l'immigration. Cette apostrophe était intitulée à mes amis blancs qui ne voient pas où est le problème :
     
    Deux brèves interviewes d’Alain de Benoist. Dans la première il s’interroge sur l’avenir du catholicisme et se demande si la déchristianisation des la France ne risque pas de faire apparaitre le catholicisme comme une religion de classe. Dans la seconde il montre que ceux qui s’affirment « gaullistes » aujourd’hui ont trahi depuis longtemps l’héritage du général : 
     
     
     
    Christopher Gérard dans une brève critique salue la parution toute récente du petit livre de Jean-François Gautier, A propos des Dieux (éditions Nouvelle Librairie), une apologie intelligente et cultivée des spiritualités polythéistes :
     
     
    Excellent numéro  d'I-Média de Jean-Yves Le Gallou et Nicolas Faure, l'émission hebdomadaire de Télé-Libertés. Sont abordés essentiellement  les sujets ayant trait aux manifestations et émeutes raciales aux États Unis et en France. L’émission s’emploie à rétablir des vérités occultées par les « journalistes » de propagande :
     
     
    L’OJIM dans un article incisif analyse la comédie victimaire  à laquelle se livre la presse de grand chemin à propos de la mort d’un Afro-américain à Minneapolis et de l’affaire Traoré, remise sur le tapis à cette occasion. il montre que l’opération s’est révélée un succès pour les militants d’extrême gauche, décoloniaux et indigénistes dont la mouvance a gagné en ampleur en usant à l’égard des forces de l’ordre de la technique du renversement accusatoire. Hier ils criaient pas d’amalgame ! Aujourd’hui ils y recourent sans complexe. Assa Traorè, soeur d’Adama et animatrice du comité « La vérité pour Adama », le reconnait elle-même « ça nous dépasse et c’est ce qu’on veut » :
     
     
    « N’importons pas, en France, la question raciale américaine !» proclame, martial, l’ancien député Les Républicains Christian Vanneste ( sur Boulevard Voltaire du 5 juin). Sa cécité l’aveugle comme dirait l’autre car c’est fait depuis longtemps. Ce pompier pyromane occulte également un autre élément massif : les majorités de droite auxquelles il a appartenu ont sanctifié durant des décennies, contre le voeu des populations autochtones, l’importation de millions d’immigrés extra-européens dans l’hexagone créant ainsi la masse de manœuvre nécessaire pour que ce problème, contre lequel il voudrait nous prémunir, éclate à la face de ses promoteurs.
     
     
    L’implacable démonstration du journaliste Nicolas Faure sur le site Polémia : non, les Noirs américains tués par la police ne sont pas victime du « racisme systémique » qui régnerait aux Etats Unis contrairement à ce qu’affirme une propagande insistante :
     
     
    Reprenant les 10 arguments les plus souvent employés par les immigrationnistes pour justifier leur cause, le site « Je Réinforme » propose de dénoncer cet argumentaire, preuves à l’appui :
     
     
    Louis de Raguenel dénonce la maffia Traoré qui depuis la mort accidentelle d’Adama Traoré ne cesse d’accuser les gendarmes. Le rédacteur en chef de Valeurs Actuelles met à mal cette version des faits et dénonce une véritable entreprise d'intoxication qui, avec le soutient d’une partie des médias mainstream pousse des milliers de gens à manifester. Dénonçant la thèse boiteuse du clan Traoré il y voit se manifester l’ambition de l’extrême-gauche indigéniste et décoloniale :
     
    Ci-joint le palmarès judiciaire (édifiant !) de la très nombreuse famille d’Adama Traoré. Un clan qui ne semblerait vivre que de trafics, de deals et d’extorsions :
     
    Grégory Roose dénonce les occultations de l’information concernant George Floyd. Une presse pourtant adepte de fact-checking, qui travaille uniquement dans le sens de l’émotionnel, et fournissant ainsi la matière de la haine contre l’homme blanc qui serait assuré de ses « privilèges ». Un certain anti-racisme ou prétendu tel a ouvert la voie à un racisme aussi décomplexé qu’il est autorisé. Et ceux qui refusent de céder à cette nouvelle grille de lecture objectivement « raciste » sont les premiers que l’on stigmatisera :
     
     
    Dans un article du Point traduit de l’Américain par Peggy Sastre en 2018 William Ray montre que le concept de « privilège blanc » qui fait maintenant son introduction en France souffre de biais fondamentaux. Peggy McIntosh son inventrice, issue de la grande bourgeoisie de la cote est et donc gosse de riches, confond manifestement dans son article fondateur de 1989 les réels privilèges financiers dont elle a pu jouir avec ceux, imaginaires, de sa « race ». En les étendant à l’ensemble d’une population qui se trouve ainsi essentialisée par les passe-droits dont elle bénéficierait. Ayant infusé à peu près partout le concept de « privilège blanc » a largement contribué à détourner les consciences, surtout chez les « racisés-dominés »  de la fracture économique qui va, elle, s’accélérant sans provoquer les troubles sociaux que l’on voit s’étaler aux États Unis. Il est significatif qu’en France même le ralliement de la gauche à ce concept biaisé qui vise à occulter des inégalités criantes sur le plan économique au profit d’inégalités raciales largement fantasmées. Cela va de pair avec son abandon des classes populaires autochtones et cela ratifie la trahison de la vocation qui l’avait fait naître :
     
     
    Julien Rochedy parle éloquemment du pseudo « privilège blanc ».
     
     
    Mathieu Bock-Côté parle du dispositif politico-médiatique profondément inhibiteur qui s’est mis en place au nom de l’antiracisme mais dont la véritable vocation consiste à instruire le procès de la nation tandis que ses défenseurs étaient au pire nazifiés, au mieux refoulés dans les marges et conduits au silence :
     
     
    Zoom de TVL avec Bruno Gollnisch. Celui-ci y fait la liste, toujours plus longue, des lois liberticides qui étranglent les capacités d’expression des Français depuis la loi Pleven jusqu’à la loi Avia. À ce propos il ne mâches pas ses mots sur les fake news d’État, prenant en exemple les États Unis :
     
    Marcel Gauchet dresse un bilan plutôt catastrophique de l’état de la France. Délabrement de l’État et désarticulation du système de décision politique, rendue visible pendant la crise du Covid-19. Il met principalement en cause l’universalisme des élites qui se vivent comme « citoyennes du monde »  :
     
     
    « Bâtir quand tout s’effondre ». L'engagement qui est au coeur de l’université d’été d’Academia Christiana, qui chaque année réunit pas moins 300 jeunes gens et jeunes filles. 
    Interview de Victor Aubert l’un des animateurs. On suivra par ailleurs l’une des conférences de l’édition de 2019 donnée par Arnaud de Robert  sur le thème  « effondrement du système, mythe incapacitant ou réalité dynamique » auquel il répond par ce qu’il appelle un stoïcisme joyeux :
     
    Conférence de Paul-François Paoli : « Quand la gauche agonise» (Cercle Aristote). Enregistrée le 1 février 2016. Un état des lieux qui pour la gauche s’est notablement aggravé depuis :
     
    Un texte de Xavier Eman : « Que l'on dénonce les violences policières me paraît non seulement légitime mais indispensable. Mais ce qui me fascine chez les "antifas" c'est qu'il faut que la victime soit "non-blanche" pour que ces violences aient vraiment un sens, de l'importance et de l'intérêt... Porter aussi loin le dédain des siens et la haine de soi dépasse le cadre politique pour se perdre dans les méandres psychanalytiques... Si l'extrême-droite a pu malheureusement être parfois le "bras armé" du capital, les "antifas" sont en train de devenir la milice auxiliaire de toutes les "minorités ethniques", poussant à une "guerre raciale" contre leur propre sang, une folie dont il subiront d'ailleurs - comme tous les exaltés coupeurs de têtes - les conséquences à leur tour… ».
    Xavier Eman armé d’un humour pince-sans-rire nous compte les aventures rocambolesque de Moussa, militant de la cause noire et pied-nickelé notoire :
     
    L’OJIM trace le portrait d’Abel Mestre journaliste au Monde où il fut spécialisé dans « l’extrême droite », un concept qu’il n’a jamais défini et dont il a tendance à élargir le spectre comme tout bon trotskiste qui se respecte. Un spécialiste de constitution de fiches. Inculte et prétentieux. Bref, un militant de « la République métissée » doublé d’un parfait inquisiteur :
     
     
    Michel Onfray règle ses comptes avec le journal Le Monde. Un véritable festival ! :
     
     
    Une vidéo de Greg Toussaint. Un noir qui ne mâche pas ses mots sur la bien-pensance :
     
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